1-Confiée à une princesse [Arya-Améthyste]

Le soleil était une fois de plus haut dans le ciel. Il n'avait pas plus depuis plusieurs jours; depuis la mort de mes parents. J'en avais été secoué de tous côtés, allant chez une famille d'Elfe, puis une autre. A chaque fois, c'était la même chose : Non, nous ne la gardons pas, c'est une guerrière ! Elle n'a pas sa place parmi nous !
A la fin, les soldats finirent par les crurent et m'emmenèrent au palais doucement, à mon rythme. Il faut dire que je ne suis pas vraiment motivée, ces temps-ci, et mon cœur reste en mille morceaux. Les larmes avaient coulé, le sang aussi. Je m'étais mise à genoux, en apprenant a mort de mes parents, et j'avais pleuré. En me relevant, je leurs avaient promis de devenir une guerrière et de les venger, même si j'ai tué ce Raz'ac. L'Empire doit être derrière tout cela. S'il le faut, je tuerais Galbatorix de mes propres pouvoirs. Et le sang coulera à nouveau...

Mes pas et le cliquetis des armes des soldats nous emmenèrent au palais. Là-bas, on me fit attendre derrière la porte, afin que le Roi et la Reine nous fasse entrer. Une fois à l'intérieur, l'une nous salua chaleureusement, l'autre beaucoup moins. La princesse n'avait pas vraiment l'air ravit de quelque chose. Mais quoi ? Je mis un genou à terre et inclinai respectueusement la tête en leur faveur. Le bruit de la foule était assourdissant, mais l'intérieur de la salle était frais et silencieux, comme si la mort de quelqu'un avait fait monter la tension d'un cran. Je parlais bien sûr de mes proches.
Mon anniversaire ne devrait pas tarder, j'allais avoir 30 ans dans deux jours et j'aurais dû en être fière. Sauf qu'il n'y aura personne pour le fêter avec moi. Comme la vie était injuste...

- Approche, Améthyste, fit la reine sur un ton maternelle et doux. Tes parents n'ont pas survécu à l'incendie, mais ils ont réussis à te sauver.

Je baissai la tête pour dissimiler mon chagrin, mais il n'en était rien. Tout le monde l'avait remarqué. Quel honte.

- Nous n'avons trouver d'eux qu'un collier où était inscris ton nom, reprit-elle. Ils voulaient sûrement te l'offrir, alors accepte ce présent.

Je relevais mes yeux rougis vers elle et pris le bijoux qu'elle me tendait. C'était une pierre mauve, suivant parfaitement avec mes cheveux, attachait à une corde. Je le mis autour de mon cou et j'eus l'impression d'être en sécurité.

Quand ma mère remit le médaillon à la petite Améthyste son regard s'illumina, et ma mère sourit.
Je ne comprenais toujours pas pourquoi il faillait que je sois présente, des affaires beucoups plus importantes qu'une petite orpheline m'attendaient au Surda.

-Arya, déclara ma mère, cette petite est une guerière née, elle manie bien l'épée et ses pouvoirs sont le feu et l'air, vois-tu le rapport avec toi?

Oh oui que je le voyais! il était même flagrant, mon pouvoir est le feu et je manie très bien l'épée. Je commencais à comprendre pourquoi ma mère m'avait fait venir...

-Améthyste à beucoup des capacités, qui plus est les même que toi, cette petite sera donc sous ta responsabilité jusqu'a ce que je te l'enleve et quelle soit capable de continuer seule.

-Il n'en ait pas question!Hurlais-je.

Des regards consternés se tournèrent vers moi, je ne fis pas attention à eux et m'adressa à la reine.

-Mére, d'ici peu je retournerais au Surda, et je devrais continuer à protèger ce royaume, participer à des batailles, et si possible gagner la guerre. Je ne puis m'encombrer d'une enfant !

La reine n'apréciat pas particulièremerement ma remarque elle retorqua,

-Je suis ta reine, et de plus ta mère! Tu feras ce qu'on te dira, cette enfant est très douée elle t'accompagenera partout ou tu iras et t'aidera dans cette guerre, tu la présentera a toute les personnes que tu rencontreras en tant que ton apprentit et j'espère aussi amie.

-Mais mère et Eragon comment vais-je faire pour...

-Tu m'as très bien entendu ! Tu l'a présentes et elle t'accompagnera, même au prés d'un dragonier ! Je sais que tu as des devoirs à remplir auprés de lui, elle t'aidera. Maintanant va ! Prépare tes affaires tu retournera demain au Surda, accompagné d'Améthyste que sa te plaise ou non.

Je me retourna d'elle et je partie en grandes enjambées vers mes appartement puis je stopa net et m'adressa à Améthyste,

-Aller suis moi, je suppose que tu dormira avec moi.

Je décida d'être plus tolérante cette petite avait perdu ses parents et je me souvenais très bien de la douleur que m'avait provoquée la mort de mon père.
Je repartit et la petite me suivit.

*
* *

Quand nous pénétrâme dans mes appartements je lui désigna le lit au fond de la pièce,

-Tu dormiras la-bas, mais en attendant si tu me parlais un peu de toi, lui dis-je en lui adressant un grand sourire.

Son ragard s'illumina.
Je commencait à apprécier ce petit boup de chou !

La reine demanda alors à sa fille, bien qu'elle l'ordonnait, de me garder et de s'occuper de moi. Je me contentais juste de la regarder étrangement, puis allais regarder Arya, la princesse d''Ellesméra. Elle avait exploser. Elle avait hurler qu'il n'en était pas question. Je la comprenais, elle ne voulait pas s'encombrer d'un petit être nuisible et inutile. Sauf que je ne suis pas comme cela. Je n'irais pas dire que je devais être plus forte qu'elle, non ceci est impossible, mais je pourrais facilement surmonté ses coups. La reine elle-même le savait.

Après son hurlement, le silence est retombé sur la salle froidement avant que le murmure de la foule ne me presse les oreilles : "Pauvre enfant" disait une, "Ar... heu... La princesse Arya est vraiment de mauvaise humeur aujourd'hui" disait un autre. Je détournais de nombreuses fois le regard des gens et me relevais fièrement.

Mon premier voyage au Surda se fera avec cette prétentieuse de princesse ! Intérieurement, je bouillonnais, mais extérieurement, je gardais mon calme. Mon visage ne montrait aucune émotion, mes yeux, par contre luisait d'une lueur étrange. Et moi, dans cette histoire, je n'avais pas mon mot dire ! Après sa dispute, la princesse Arya s'enfuit, rageuse avant de me cracher en se retournant :

-Aller suis moi, je suppose que tu dormira avec moi.

*Tu suppose bien* Pensais-je en me courbant et en courant derrière elle pour la rattraper. Après quelques instants, nous arrivâmes aux appartements de la princesse. A quoi m'attendais-je vraiment ? Je ne sais pas, mais sûrement pas à ça. Elle pointa un lit au fond de sa chambre tout en me disant que je logerais ici. Elle m'a aussi demandé de parler de moi. Je soupirais, à la fois surprise et honorée. Je murmurais :

- J'ai vécu trente ans dans la maison. J'ai pris tout ce temps pour m'entrainer au cas ou l'ennemi viendrais essayer de nous tuer. La seule journée où j'étais sortis, c'est le moment qu'à choisis le Raz'ac pour attaquer...

Je m'arrêtais un instant, le regard vague. Je me dirigeais vers ma couche, caressa les draps puis m'assis sur le matelas et continuant :

- Il a tuer mes deux parents et à mis feu à ma maison, je n'ai rien pus faire, sauf les venger en le tuant.

Je relevais la tête en lui demandant, mes sourcils arqués jusqu'au extrémité de mes tempes :

- Et vous ? Quel est votre histoire ?

Nous n'étions qu'à l'heure du déjeuner, nous avions encore l'après-midi et la soirée pour apprendre à se connaitre. Maintenant, elle savait tout de ma vie palpitante. Je n'avais qu'une épée et qu'un collier comme affaire. Il fallait vraiment que je me rachète des biens.

Dès que la petite eu terminer son histoire, une vague de souffrance me submergea, je connaissait beaucoup cette souffrance, c'est celle de la mort d'un proche pour moi celle de mon père.
Elle me posa ensuite une toute petite question, une seule mais qui me tourmenta l'esprit :

-Et vous? Quelle est votre histoire?

Des centaines d'images se bousculèrent dans ma tête, que lui raconter ? La vériter évidament. devais-je lui épargneer ma souffrance?
Pendant que je réfléchissait la petite attendait, ne me forcat pas la main, quelle créature délicatte.
Mais bon, il faudra que je lui parle un jour, je me mit alors à parler.

-Je sais ce que tu ressent, je veux dire la mort des tes parents, j'ai connus cela avec mon père le roi Evandar. sauf que toi c'est deux fois plus fort! Tu es une petite fille très courageuse.
Mais tu m'as posée une question, je vais y repondre, voila mon histoire.

Je me redressa et vins m'assoire près d'elle sur son lit, je reprit :

-Un jour on me confia l'oeuf de Saphira volé a Galbatorix. Malheureusement, l'Empire en a été informé. Pendant que j'été poursuivit par des urgals et l'ombre Durza, j'ai reussis a transplaner l'oeuf de la dragonne chez Eragon. Pendant... trop longtemps a mon goût Durza, me torturait à Gil'ead pour savoir où l'oeuf avait atterris. Pendant ce temps je contacter Eragon part rêve. C'est lui plus tard qui me délivera et m'emmena chez les Vardens. La où je vécus. Aprés la bataille de Fârten Dur j'ai accompagné Eragon ici, à Ellesméra pour qu'il suive sa formation de Dragonnier. C'est à ce moment que ma mère apprit que je n'étais pas décédée. Ensuite je suis retournée chez les Vardens, je les ai suivi dans leur progression pour allé aux plaines brûlantes, la ou je combattis aux cotés d'Eragon et de Saphira !!
Et, un beau jour, ma mère me contact par magie ne me demandant de venir à Ellesméra, la suite tu la connais.

J'avais ormit de parler de l'amour d'Eragon, mais c'est un détail sans importance, qui me blesse que j'y pense car je ne peux repondre à cet amour même si tout au fond de moi, mon coeur lui appartient.
Je sourit à la petite et lui dit d'une vois douce :

-Que veux tu manger ? Je vais faire venir un plateu repas pour que nous puissons continuer à parler.Cet aprés-midi nous ferons ce que tu voudras.

Je commencer à m'attacher à elle, je le sentais, un lien fort nous unissait.

Elle songea avant de me raconter la mort de son père. Je fus surprise d'apprendre la mort du roi Evendar, j'aurais dû être au courant. Elle se leva pour se rassoir à mes côtés et me conta son histoire. Pendant toutes ses paroles, j'étais pendue à ses lèvres, complétement absorbée par ses paroles en m'imaginant la scène. Après qu'elle eut finit, je savais qu'elle ne m'avait pas tout raconté, mais elle fait ce qu'elle veut, ce n'est pas moi qui dirais le contraire.

D'une voix calme et douce, elle me dit :

- Que veux tu manger ? Je vais faire venir un plateau repas pour que nous puissions continuer à parler. Cet après-midi nous ferons ce que tu voudras.

Une fois de plus, la surprise refit surface dans mon esprit. En fait, elle n'était pas aussi prétentieuse que je l'aurais crus, elle est même gentille. Incroyable. Gênée d'être le centre de son attention pendant quelques instants, je baissais la tête en rougissant tout en disant :

- Je mangerais la même chose que t... heu vous.

Je me mordillais la lèvre supérieur, légèrement désolée d'être aussi inconsciente. Oh ! Et puis zut ! Je relevais la tête, fière d'être moi et me positionnais sur mes pieds. Je sortis Apocalypse de son fourreau et me mis en garde. Bien décidée, je rapporta en trois syllabes :

- Battons-nous !

Dès que je lui demanda ce quelle voulais manger elle me repondit :

-La même chose que t... heu vous.

Elle prit un air genné, je voulait lui dire quelle devait me tutoyait mais elle prit un air décider et me retorqua :

-Battons-nous !

J'éclatais de rire, ce n'est peut-être pas la meilleure chose à faire, elle va croire que je me moque d'elle mais pas du tout !! Je lui expliquas,

-Je ne moque pas de toi, jamais, j'apprécit ton antousiaste! nous allons bien nous entendre toute les deux. Soit nous nous batterons mais pas le ventre vide.

Je me dirigea vers la porte et me retourna,

-Au faite, les amis se tutoient, alors fait-en de même avec moi.

Puis je me dirigeas vers les cuisines.
Il y reigneit une grande agiation quand je rentrère. Dès qu'une cuisinière me vit, tout le monde se tuent.

-Alors princesse, comment cela ce passe avec l'enfant ? Me demanda une cuisinière.

-Très bien je me suit fait une mauvaise idée d'Améthyste, c'est une jeune fille brillante pleine de courage. Justement je voudrais lui faire goûter les mets les plus délicieux du palais.

-Tout de suite mademoiselle,

Elle me tendit un plat bien garnit de légume et de fruits en tout genre car évidament les elfes ne mange pas de viande. nous avons même influencé eragon lors de sonséjour chez nous.

-Merci beucoup Alexia, lui dis-je en lui prenant le plateau.

Je retourna dans mes appartement.
En entrant, le petite me regarda et s'asseya sur les tabouret près de la table.
Nous dejeunions tranquillment.

A la fin je lui dit,

-Alors vas-y degaine ton épée.A j'oubliait, fixe des règles s'il te pleit je ne connait pas encore ton niveau et utilisons-nous nos pouvoir?
Je t'écoute.

Elle éclata de rire. Sur le coup, je baissai mon arme. Beaucoup de monde avait dit qu'Arya était froide et distante, mais elle n'en a pas vraiment l'aire. Elle ne se fichait pas de moi, non, elle appréciait mon enthousiaste. C'est relativement étrange d'être enthousiaste lorsque ses parents viennent de mourir, mais c'est toujours mieux que de se morfondre sur son lit. Elle ne voulait pas que l'on se batte sans que l'on eu mangé. Bien.

Je rangeai mon épée dans son fourreau et croisai les bras en écoutant la suite. Il n'en eut pas et elle partis. Juste avant de dépasser le seuil de la porte, elle m'indiqua que les amis se tutoyaient. Je hochai la tête et elle partit. Je restai là, à ne rien faire. De toute façon, que pouvait-il vraiment m'arriver ? Et puis, je repartais au Surda dés demain.
Je fixais mon Améthyste, cette pierre abrupte, pendouillé autour de mon cou. On pouvais presque dire que je lui ressemblais. Mais je ne suis pas une pierre.

Lorsqu'Arya revint, je m'assis sur l'un des tabouret, au fond de la pièce. Le plateau était bien garnit, mais que de fruit aux couleurs éclatantes et des légumes frais. J'avalais le tout, rassurée d'avoir à présent un endroit où vivre. Une fois notre repas finit, elle me dit en souriant :

- Alors vas-y dégaine ton épée. Ah ! j'oubliai, fixe des règles s'il te plait, je ne connais pas encore ton niveau et utilisons-nous nos pouvoirs ? Je t'écoute.

Je me relevais puis dis tout en sourire :

- Tu sais que j'ai toujours voulus avoir une grande sœur ? Une grande sœur qui me protégerait contre les railleries et mes méchants imaginaires. Oui, j'ai toujours voulus quelqu'un qui pourrait jouer ce rôle. Mais elle n'est jamais venu. J'ai donc dû apprendre à me défendre, seule. Mais là, je crois que j'ai trouvé ma grande sœur... Ou au moins sur celle sur qui je peux compter.

Je la regardai gravement puis hochai la tête pour lui faire comprendre que c'est bien d'elle que je parle. Puis, je dégainai une fois de plus Apocalypse avant de lui exposer mes règles :

- Les règles sont qu'il n'y en a pas... Sauf bien sûr qu'il ne faut pas s'entretuer ou même se blesser. Tu veux ajouter quelque chose ?

Au lieu de m'expliquer ses règles elle commença à m'expliquait quelle avait toujours voulu une grande soeur et quelle avait dut se defendre seule.
puis elle fixa les règles, aucune.
Et là je comprit, c'était moi la grande soeur qui la protègerait contre les méchants.
Moi ?! Son modèle.
S'en fit trop mes larmes debordères de mes yeux et j'enlaca la petite, au point de nous étouffer toute les deux.

-Merci, merci, merci je suis si heureuse que tu me considère comme t'elle ! C'est un honneur ! Oh tu es tellement adorable.

La glace de mon coeur c'était brisé, il debordait d'amour pour ce petit enfant mauve, cette fille, ma soeur.
Je sechais mes larmes,

-Désolé je me suis emportée, mais c'est que je suis tellement contente. Demain, je te présenterais à tout le monde, il faudra qu'on fasse nos baguage, qu'on prévoit de la nourriture et ausssi nos montures...

Je continuais comme ça jusqu'a ce que je me rappelle de quelque chose.
Je sortit Aiedail, mon épée de son fourreau et prononça d'une claire:

-Prête jeune fille ?

Et nous commençèrent, enchainant les coup, et parfois les pouvoirs, au bout d'une dizaine de minutes nous accélérons un peu la cadance, le combat durant près d'une demi heure.
Jusqu'a un moment ou nos épée se percutèrent violament et elles s'envolèrent toute les deux en même temps pour se planter dans le sol quelque mètres plus loin.
Se fut le début d'une hilarité général, nous arrivons plus à nous aréter de rire.
Pour fnir nous nous écroulèrent sur son lit avec un soupir.

-C'était un beau combat, dis-je en me redressant, tu es très doué ! Bon que veut-tu faire l'après-midi touche a sa fin, nous pouvons nous balader dans le châteu ou rester ici à préparé nos affaire pour demain ou...autre chose?
Je lui adressa mon plus beau sourir et attendit sa reponse...

Des larmes de cristal prirent le dessus sur cette grande guerrière qui commença à me prendre dans ces bras. Si j'avais été un vase, je serais brisée depuis longtemps. (Mais pourquoi enlacerait-elle un vase ?! Chacun ces goûts !) Je suffoquais alors qu'Arya me remerciais de tout son cœur. je ne répliquais pas, juste en lui lançant un petit sourire. Se dégager aurait sans doute était mal vu et j'essayais donc de ne pas la vexer en la repoussant doucement.

Arya eu un pauvre sourire avant de négliger ses perles d'argents puis se pardonna. Je finis par être embarrassée de ses excuses et lui assura que ce n'était rien puis elle me conseilla de faire mes bagages.
J'ouvris de grands yeux en essayant de garder ma surprise pour moi-même : Quels bagages ?

Enfin, elle sortit son arme et se mit en position de combat. Celui-ci commença rapidement, et fut particulièrement long. Mais cela ne m'embêtais pas du tout, bien au contraire.
la bataille m'empêchais de penser à mes parents déchus auxquels je ne reverrais peut-être jamais leur mânes... (Bon, d'accord, je ne les avais vu qu'en rêve, mais c'est déjà ça, hein ?)

Au bout d'un moment, Apocalypse percuta Aiedail avec tant de violence que les deux glaives partir chacun de leur côté, étant donné qu'Arya et moi n'avons pus les contenir.
Je lui adressai un sourire espiègle puis, ne pouvant plus y tenir, nous nous écroulâmes de rire.
Même si, à ce moment, la reine des elfes se serait mise à faire de la marelle toute nue, elles ne l'auraient pas remarqué.

Après nous être bien amusée, nous nous affalâmes sur le lit d'Arya en ayant bien mal aux abdos. (Ah, mais !)

- C'était un beau combat,

releva-t-elle,

tu es très douée ! Bon que veux-tu faire l'après-midi touche à sa fin, nous pouvons nous balader dans le château ou rester ici à préparé nos affaire pour demain ou... autre chose ?

Elle m'adressa un sourire resplendissant auquel je lui retourna en faisant de même en m'interrogeant. que voudrais-je bien faire ?
Une idée me traversa l'esprit et ma tête se courba afin de pouvoir jeter un regard à l'améthyste. C'est tout ce qui me restait. Je ne pouvais plus m'habiller ni me battre.

Je releva le museau, toute lueur d'amusement disparus, tant je souffrais. Il fallait que j'arrête de songer à l'accident. Maintenant que ceux que j'ai connus toute ma vie ont disparu, il allait falloir que je surveille de très près ma dernière amie. Alias Arya.
Mes poings se serrèrent et mes phalanges pâlirent bien vite alors que je psalmodiais en moi même cette prophétie.

Je grinçais des dents puis ré-affichais un sourire sans joie, digne d'une miss France qui étai sûr de gagner et qui s'en fichait comme de sa première chaussette.

- J'aimerais me racheter des affaires et, avec ta permission, parcourir la ville,

fis-je gaiement.

Je dois me payer un arc avec les flèches, si possible

(On sentait l'ironie dans sa voix).

J'aimerais aussi m'acquérir d'un sac et des vêtement pour aller au Surda. Je n'ai pas vraiment envie de me retrouver toute nue. Enfin, pas avec si peu de spectateurs !

J'éclatais de rire, toute seule. Grand moment de solitude. Elle avait peut-être pas compris la blague. (Bah tant pis !) Je me levais derechef, gênée, pris mon épée et la rangeais dans son fourreau en inspirant un grand coup. J'espérais vraiment qu'elle n'avait rien remarquer !
Je continuais en sortant de la suite d'Arya, sans savoir si elle me suivait ou si elle m'écoutait :

- Je dois m'acheter quelques poignards au passage et des shaken. Oh ! Et puis, ne t'inquiètes pas, j'ai une bourse pour acheter se dont j'ai besoin, tu ne vas dépenser une seule pièce !

Je levais au-dessus de ma tête ma besace en peau d'animal non-identifié (je ne voulais absolument pas savoir !), puis la raccrocha à ma ceinture avec grâce. Je fis alors une chose assez surprenante venant d'une enfant ayant perdue ses parents il y a peu de temps.
Je m'enfuis dans les couloirs en hurlant à Arya :

- C'est toi le loup !

Je ne croisais personne, mais si un malheureux avait été sur ma route, il aurait bien été surpris. Toute rouge d'excitation, je m'entrepris d'aller le plus vite possible.
Elle ne me rattrapa qu'à la sortie, au moment où j'avais ralentie un petit peu et je lui discernai un sourire qui faisait trois fois mon visage.

- On recommencera plus tard,

plaisantais-je en riant.

Je ne connais pas ces lieux, je te suis.

La dernière phrase fut dite plus gravement, sans que mon air jovial ne quitte un instant mon visage. C'était juste pour lui montrer que je ne me fichais pas d'elle. Enfin, pas beaucoup...

Avant quelle ne me repondre je vis la souffrance déformer ses trais, je ne comprit pas pourquoi.
Une idée me vint j'allait regarder dans son esprit, j'étais doué pour que les gens ne remarque pas mon intrusion dans leur tête.
Je commencas, ce que je lut me fit presque sufoquer, tant de souffrance dans un si petit corp, mais comment faisait-elle pour survivre, même moi je n'y arriverais pas.
Cette gamine était forte, très forte !

Je me retiras de son esprit, de peur de trembler, j'allais aider cette petite, l'aider à supporter tout son mal.

- J'aimerais me racheter des affaires et, avec ta permission, parcourir la ville, me repondit-elle gaiement.*Elle cache bien son jeu* pensais-je Je dois me payer un arc avec les flèches, si possible. Continua-t-elle. J'aimerais aussi m'acquérir d'un sac et des vêtement pour aller au Surda. Je n'ai pas vraiment envie de me retrouver toute nue. Enfin, pas avec si peu de spectateurs !

Elle éclata de rire, moment de réflection pour moi, je comprit, mais elle ne me laissa pas le temps de repondre.

- Je dois m'acheter quelques poignards au passage et des shaken. Oh ! Et puis, ne t'inquiètes pas, j'ai une bourse pour acheter se dont j'ai besoin, tu ne vas dépenser une seule pièce !

Je voulut lui repondre quelle ne toucherait pas à ses économies, mais elle me coupa la parole, encore. *Pff*

- C'est toi le loup ! Cria-t-elle.

Elle détala. Cela me fit sourire, je la poursuivis dans les couloir du château, *Dieu que cette petite est rapide* pensais-je.
Je la rattrapa, mais elle avait surement ralentis, le sourire quelle lut sur mes lèvres dut la réconfortre. Enfin...je l'espèrais.

- On recommencera plus tard, reprit-elle en riaint. Je ne connais pas ces lieux, je te suis.

Je sortit donc du château, Améthyste sur les talons, je proffitas de son silence pour lui expliquer.

-Nous allons faire un tour chez le tailleur et dans diverses boutiques d'armes, je n'est pas le temps de t'en chanter.
Puis nous emballerons tes affaires, et demain matin, direction le Surda !

Suite du RP dans Ellesméra, la ville.

» 2-Une balade entre amies. [Arya-Améthyste]
» 3-Dernier soir, puis départ ! [Arya-Améthyste]
» Arya...
» Améthyste, l'Elfe mauve...
» Absence d' Arya